Dans cet article déjà vu dans la revue de presse de la semaine dernière, on y voyait déjà un drone qui vole malgré les nombreux chocs sur les surfaces qui l’entourent.
Dans ce sujet de recherche en Australie, les scientifiques ont étudié le vol des abeilles pour proposer un modèle de guidage ultrasimple qui pourrait être applicable pour de nombreuses applications dont les drones. L’étude, publiée dans le journal ‘Proceedings of the National Academy of Sciences’ a également impliqué des chercheurs de l’Université de Melbourne, de l’Université de Lund en Suède et de l’Université de Bielefeld en Allemagne. Il y est met en évidence que les abeilles sont extrêmement précises dans leurs atterrissages avec des moyens très limités « Elles ne comptent sur rien d’autre qu’un sentiment rudimentaire de vision à faible résolution avec mise au point fixe et des yeux si rapprochés qu’il n’y a pas de profondeur de champs (vue stéréoscopique) ».
Contrairement au drone suisse qui est déjà opérationnel, le modèle de guidage proposé par les australiens n’est pas encore implémenté.